Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

littérature jeunesse - Page 3

  • Les Fantômes d'Aveline Jones de Phil Hickes

    Imprimer
    • les fantômes d'aveline Jones, littérature anglaise, Phil Hickes, Hallowee, littérature jeunesse, histoire qui fait peurMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Fantômes d'Aveline Jones ?

       "Parfois, je suis trop raisonnable. Si, si. Et après je regrette de ne pas avoir accepté des livres qu'on m'a proposé. Ce n'est pas souvent mais ça arrive, comme ce fut le cas ici. Alors en attendant de recevoir le tome 2 de la part des éditions Saxo, je suis vite allée acheter (et lire) celui-ci."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Aveline doit séjourner quelques jours chez sa tante, dans la petite ville de Malmouth, mais dès le départ cet endroit lui donne la chair de poule. Un recueil d'histoires de fantômes raturé et le journal intime d'une jeune fille disparue finiront de la convaincre que quelque chose cloche dans cette station balnéaire..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Ce n'est pas un coup de coeur, qui sont toujours rare pour moi en littérature jeunesse même si elle m'attire beaucoup, mais c'est une lecture vraiment sympathique et j'ai déjà hâte de retrouver Aveline dans ses nouvelles aventures. Et c'est elle qui m'a plu avant tout d'ailleurs, cette jeune fille ordinaire à qui il arrive des choses extraordinaires, comme le souligne l'auteur. Ça fait du bien de suivre une héroïne normale, qui ne pense pas tout savoir sur tout, qui ne comprend pas tout ce que les adultes n'ont pas compris et qui ne leur cache pas ce qui lui arrive. Vraiment, c'était presque un soulagement et c'est touchant de voir la complicité et la compréhension s'installer petit à petit entre Aveline et sa tante. Au lieu d'isoler, ce genre d'histoire uni. Quant à l'ambiance, elle est parfaitement dépeinte pour vous faire frissonner et il n'est pas impossible que les plus jeunes se fassent un peu peur avec cette lecture, ce qui est le but après tout."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "L'équilibre entre la réalité et le fantastique, comme celui entre l'indépendance et l'entraide sont pour moi les points forts de ce roman et j'espère que ce sera également le cas dans la suite de la série, que je vais m'empresser de lire."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes lecture d'Halloween ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Les Fantômes d'Aveline Jones" ?

  • Le Magasin qui n'Ouvre que les Jours de Pluie de You Yeong-Gwang

    Imprimer
    • le magasin qui n'ouvre que les jours de pluie, you Yeong-gwang, feelgood book, feelgood coréen, healing book, littérature coréenne, littérature jeunesse, Corée du Sud, hanguk, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Magasin qui n'Ouvre que les Jours de Pluie ?

       "Je peux dire que l'attente fut longue pour découvrir ce récit, et jalonnée de rebondissements. D'abord annoncé en anglais, commandé mais jamais reçu, puis en français, juste après la fin de ma longue collaboration avec Robert Laffont, j'ai été plus qu'heureuse qu'on me l'offre finalement en numérique."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Une rumeur se répand dans la ville. Si vous écrivez au magasin des Gobelins le récit sincère de vos malheurs, vous recevrez une invitation à vous y rendre le premier jour de la mousson ainsi que l'occasion de changer votre vie. Serine n'a rien à perdre alors elle va tenter sa chance..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avec tous ces rebondissements et ces mois d'attente, j'ai eu le temps de voir passer quelques avis, plutôt mitigés, sur ce roman et cela m'a permis je pense de revoir mes attentes à la baisse. Je savais également qu'il s'agissait d'un récit fantastique et jeunesse (là où j'aurais préféré me retrouver ancrée dans la Corée pour ma part) et le prenant pour ce qu'il est, je l'ai trouvé sympathique. C''est mignon, c'est bien traduit et c'est divertissant. Selon moi, cela s'adresse au 12/14 ans en terme d'écriture, d'aventures et de leçons de vie. Ne vous attendez pas donc à y faire de grandes découvertes. Si vous n'en demandez pas plus, vous appréciez certainement cette lecture mais pour ma part, j'aurais aimé que ce soit moins cousu de fil blanc et plus approfondi, moins manichéen. J'aurais aimé que l'on prenne plus le temps de connaître chaque personnage et me sentir émotionnellement liée à eux. Et comme ce ne fut pas le cas, les scènes qui auraient du m'émouvoir m'ont laissée plutôt indifférente malheureusement."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Même si la morale de l'histoire est positive, j'ai trouvé la fin bien amère tout de même, ce qui ne m'étonne finalement pas tant que ça pour un roman coréen mais qui ne colle pas tellement au côté fantastique et jeunesse du reste du récit."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "Le Magasin qui n'Ouvre que les Jours de Pluie" ?

  • The Westing Game de Ellen Raskin

    Imprimer
    • the westing game, Ellen Raskin, littérature jeunesse, Monsieur Toussaint Louverture, monsieur toussaint laventureMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Westing Game ?

       "Entre la beauté absolue de cette couverture et le résumé, j'étais tout simplement perdue, sans compter l'éditeur, à qui je fais confiance. Il figurait donc tout en haut de ma wishlist quand j'ai eu la bonne surprise de le trouver dans ma boîte."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sam Westing est mort, dans sa maison en haut de la colline, et tous les habitants de l'immeuble d'en face, qui ne sont pas vraiment là par hasard, sont conviés à la lecture de son testament. Celui qui résoudra l'énigme du crime, héritera de toute sa fortune..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avec Monsieur Toussaint Louverture, on souligne souvent la beauté de l'ouvrage, à raison, mais peut-être devrait-on aussi souligner plus souvent la qualité des traductions, une caractéristique dont tout le monde ne peut pas se vanter. J'étais déjà admirative de celles proposées pour Lucy Maud Montgomery, à tel point que je ne souhaite pas la lire chez un autre éditeur, mais ici je n'ose même pas imaginer le travail que cela a du demander de retranscrire l'énigme de façon fidèle et efficace à la fois ! Et parlons-en de cette énigme qui malheureusement, m'a un peu déçue. J'attendais d'autres indices, un vrai jeu de pistes, de quoi se casser la tête, alors qu'en fait il faudra se contenter de ces petits bouts de papier distribués au début du roman, d'un puzzle insoluble pour le lecteur et d'un résultat un peu brouillon. C'est vraiment dommage. Heureusement, j'ai aimé tout le reste. J'adore les romans qui rassemblent un certain nombre de personnages dans un même lieu clos et on l'a apprend à les connaître petit à petit en même temps qu'eux-mêmes se rapprochent. Et j'ai aimé aussi la petite héroïne, aussi attachante qu'agaçante."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai beaucoup apprécié le dénouement, ainsi que le fait d'avoir des nouvelles de tous les habitants de l'immeuble plusieurs années après mais si c'était une lecture bien sympathique, ce n'est pas un coup de coeur pour autant, comme je l'aurais tant voulu."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Monsieur Toussaint Louverture ICI

     

    Alors, vous craquez pour "The Westing Game" ?